Juste tes yeux, tes grands yeux...[en cOurs]

Chuis contente, j'inaugure les fanfictions Very Happy

:
j'espère qu'elle vous plaira Smile

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Chap.1 (long chapitre)
Nous sommes un matin de juin.Quand je dis matin, je pense plutôt nuit. Il est 3h30 du matin. Je me glisse hors de mon lit dans le silence que j'exige le plus absolu. Je m'étais couchée toute habillée hier soir. Ma main tremble violemment lorsque j'empoigne le sac que j'avais préparé la veille. Un quart d'heure plus tard, j'ai fini de rédiger ma lettre d'excuse pour ma famille. Je m'en vais.

Je sors par la porte de derrière, escalade le portail, et m'enfuis en courant vers la gare. Libre, je suis libre !

Chloé est arrivée, elle me prend par le bras en me chuchotant : « Tiens-toi bien, la liberté va nous en faire baver. ». Je l'embrasse sur les 2 joues et sautille vers notre train qui vient tout juste d'arriver en gare. Nous montons, à peine nous sommes nous assises qu'1 homme nous demande nos tickets, nous les lui montrons. 5 min plus tard, l'engin part et mon coeur saute, Chloé ravale un sanglot, elle a peur. J'ai peur, moi aussi, je lui caresse les cheveux, elle pose sa tête sur mon épaule. Un long voyage commence.

Chloé a réussi a s'endormir, pas moi. Je lui secoue l'épaule et elle lève vers moi des yeux cernés et ahuris. Je lui souris et lui murmure : « on l'a fait, on l'a fait. ». Elle se blottit contre moi, je la repousse : « Debout, on est à Rennes, on change de train. ». Elle fait la moue et me dit: « J'ai faim. ». J'ouvre mon sac et en sort 2 gros pains au chocolat. Nous masticons encore en entrant dans l'autre wagon. Il est 5h00 du matin. Direction Paris. Je n'arrive toujours pas à dormir, alors que mon amie, elle, s'est déjà assoupie, je soupire et regarde le soleil se lever. Je pense à mes parents, à ma lettre, elle est tellement minable, Chloé tellement calme. Je me lève et vais me dégourdir les jambes dans le couloir.

Il est 7h30. Nous sommes à Paris. RAS. Nous partons vers Strasbourg. Je n'ai toujours

pas dormi.

Il est 10h00. Arrivées à Strasbourg. Nous sortons du train, puis de la gare. Notre plan est bien au point. Nous avons la journée pour nous transformer complètement, de la tête aux pieds, changer notre look, afin que si un avis était lancé, on ne nous reconnaisse pas. Nous entrons dans un salon de coiffure vide et paisible. Nous demandons à nous faire coiffer. Elles ont le temps. Chloé précise vite. Elles nous installent aux lavabos. J'ajoute que nous voulons nous faire teindre. Elles frottent nos têtes avec vivacité, les mains pleine de shampoing. Une demie-heure plus tard, nous ressortons du salon. Chloé a les cheveux rouges foncés, mi-longs avec du gel et moi, les cheveux noirs,raides, longs jusqu'aux épaules avec une frange qui cache mes yeux bleus. Puis nous passons aux fringues, et enfin nous cherchons un hôtel où passer la nuit, car notre train a du retard.

Rien. Aucune chambre de libre. Il est 20h45, nous avons cherché tte la journée, nous avons mm fait les chambres d'hôtes, mais à cause d'1 festival, ts les hôtels, du plus miteux au plus classe, sont complets. Quant au festival, rien de très intéressant, un truc sur l'art contemporain japonais, qui a envie de voir ça, frchmt, bref passons. Nous revenons à la gare où nous nous asseyons sur un banc.

Moi : on a qu'a dormir là.

Chloé : Ça va pas! Ah non, moi je dors pas là, regarde partout, y'a plein de clochards par-terre, jm'en fous, je dors pas là, on va se faire emmerder.

Moi : Non. Je m'en tape. On reste ici. Je monte la garde pdt 3h00 puis inversemt, OK ?

Chloé [grommelle] [grommelle]:OK.

Chloé prend les sacs et les cale sous sa tête. 5 min plus tard, elle s'est endormie.

Je fixe les hommes à mes pieds, tous sans-abri, la plupart avec une barbe et une bouteille de pinard dans la main. J'ouvre mon sac et prend une couverture avec laquelle je recouvre nos jambes. Un homme titube vers nous. Je lève un peu plus la couverture jusqu'à ce qu'elle couvre nos épaules et serre le textile dans mes doigts aussi fort que je le peux. L'homme arrive à ma hauteur, je sens d'ici l'odeur putride que ses habits, sa bouche, son être dégagent. J'accroche mes mains moites aux lates du banc en plastique. Le clochard s'asseoit lourdement à ma gauche et me souffle :

-Qu'est-ce tu fous là?

Moi : En quoi cela vous regarde ?

Clochard : Ton assurance a attisé ma curiosité, petite. Raconte moi.

Moi : Il n y a malheureusmt pas grd chose à raconter...

Clochard : Je crois que si, bien au contraire.

Et je lui raconte tt, la fugue et le reste. Les 3 heures passent, je ne m'en rends pas compte. Je parle, je parle et bientôt notre train arrive. Je sursaute et réveille Chloé, je dis au revoir à l'homme et nous fuyons vers le train.

Il est 7h00, je fouille dans le sac. Il n'y a presque plus rien. Tant pis, si je le dis à Chloé, elle va paniquer, je me sacrifierai, j'ai de quoi faire. Je lui tend un croissant

Moi : Bon ap' ma fille !

Chloé : tu manges pas ?

Moi : J'ai dja mangé quand tu dormais.

Chloé : OK, bah pas bon ap' !

Moi : Ouais...=S

Je fouille dans le porte-monnaie, m*rde, il reste presque plus rien non plus.

Chloé : Ah tiens, je vois que tu regardes dans le porte monnaie, bah désolée mais en fait on n'a que la moitié de ce que tu pensais qu'on aurait, pcke euh, cmt te dire...

Moi : Me dis pas que t'as rien pris toi !

Chloé : Ok, ok jle dis pas mais...

Moi : Oh putin, on est dans la merde...

Chloé : Bah tant qu'il reste à manger et que tu prends pas tout en cachette, héhé :p, on devrait tenir.

Moi : C'est ça, oui, ben j'espère...

Chloé : Oohh, sois pas pessimiste, chuis sûre que tout va bien se passer...

Moi : Ouais, ouais, bah on verra hein...

Je soupire et le reste du voyage est sans grande importance. 2 bonnes heures plus tard, nous arrivons à la gare d'Hanovre. L'aventure commence réellement maintenant.

Ah ba moi je veut la suite elle est trop bien ta fic !!

Super Modo Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 21/04/2007

oua trop bien t'as fic ! la suite stp !!

et mais vous faites des truk super les filles c'est tro bien se que tu a fait !! moi jve la suite !!

Marci les topines
Vous mets la suite Smile

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Chapitre 2

Notre voyage arrivait a sa fin. Je ne parlais pas du trajet Strasbourg Hanovre, mais du trajet complet. Bien sûr, ns n'avons pas prévu de rentrer, loin de la, mais enfin, nous sommes a la gare d'Hanovre. Un bruit de freins. Nous avons l'habitude maintenant. Les portes s'ouvrent. Nous prenons machinalement nos sacs. Nous arrivons juste devant les 3 petites marches qui nous font sortir du cheval de fer.
J'observe la gare et le monde qui la remplit, et devant mes yeux fatigués de ne pas avoir dormi pendant plusieurs jours et de m'être privée de nourriture, se dressent 2 grands yeux bruns, il y a bien sûr un corps dessous, mais il ne m'intéresse pas.
* Soudain les 3 petites notes prévenant d'1 annonce. Un enfant oublié, mais en allemand, cela donne, Vergessene Kinder, Chloé fredonne derrière moi cette magnifique chanson.*
Les yeux ne me quittent pas, je ne les quitte pas non plus. Soudain, un voile apparaît, le sol se dérobe sous mes pieds. Puis un grand trou noir, celui qui vous confirme que vous vous êtes bien évanouie, je crois mm que je suis tombée dedans...

la suite, la suite, la suite lol non c bon j'arrete bon ba la suite si ta pas compris lol

La suite stp !! z'aime bien le début !!! <3 <3

suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !! =D

trop bien moi osi je ve la suite !! lol !!

Chapitre 3

Mes yeux sont restés collés longtemps. Même lorsque j'étais réveillée, je les gardais clos. J'étais si bien. Confortablement allongée. Je ne savais pas où, je m'en fichais. Plusieurs fois, j'avais cru entendre un souffle. Je ne pense pas que je rêvais. Pour finir, j'ai entrouvert mes paupières.
Il faisait noir, mais une immense baie vitrée laissait passer les lumières de la ville. Je me redressai et m'appuyai sur mes coudes. J'observai la pièce. Elle était grande. Un verre d'eau était posé sur une table a côté du lit où je reposai.
Effectivement, je n'avais pas rêvé. Une ombre se détachait à côté de la vitre. Je saisis le verre. Je pensai immdiatement à Chloé. Je me relevai et posai un pied par-terre.
Le bruissement des draps fit brusquement tourner la tête de mon ombre. Ce n'était pas Chloé. Ces yeux... Il ne me restait qu'un petit souvenir de la gare de Hanovre.
Il s'agissait bel et bien de ces yeux... Si grands, si bruns, si expressifs... Ils m'avaient envoûtée... Le corps de mon ombre se leva, le garçon qui la constituait était grand, très mince et j'insiste bien sur le très, des dreadlocks et pour ce qui est de la couleur de chacune des choses que je viens de citer, il aurait pu être noir, je n'aurais pas su dire, puisqu'il faisait nuit. Mais le souvenir de son corps, que j'avais a peine regardé a Hanovre, me revint en pleine figure. Il était blanc et ses cheveux blonds foncés. Il s'accroupit à côté de moi, et me prit les mains...

SUITE !!! stp c trop bien !!!

rah la la zaime trop !!! <3

suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Chapitre 4:

Je ne voyait pas ses mains. Loin de la. Mais je les sentais. Sa peau était toute chaude. Je sentais battre son pouls. Le mien était faible. Je venais de me réveiller et pourtant, j'étais plus que fatiguée. Puis sa main glissa de la mienne et il caressa le bas de mon visage. Mais qu'est-ce qui lui prenait? Je ne le connaissais mm pas et lui non plus d'ailleurs. J'écartai ses doigts fins de me joue et tentai de me lever. Malheur. Mes jambes ne me soutenaient plus. Je m'effondrai aux pieds du jeune homme. Il retint un cri et je vis sa figure se crisper de peur. Il s'accroupit à côté de moi, prit mon bras, le passa derrière son épaule et il me souleva. Mais il se croyait tout permis ma parole! Je tapai son cou du tranchant de ma main, une fois de plus, il s'empêcha de crier, ts ses traits le traits trahissaient sa douleur, je le savais que ce coup faisait mal. Mais il n'entreprit pas de me relâcher. Il m'emmena dans une autre pièce, alluma la lumière par coup d'épaule et me fit asseoir sur une chaise. Nous étions dans une immense cuisine. Il était de dos et s'affaira à récupérer des aliments dans les placards. Un miroir était collé au mur. Bizarre, un miroir dans une cuisine. Peu m'importait. Je regardai mon reflet. Mmh, mauvaise mine. Puis mon homme se retourna. Mon coeur repartit de plus belle. Non, je ne rêvai pas. Il s'agissait bien de ces yeux, mais quelquechose me dit que je le connaissait. Il s'assit en face de moi et me regarda longuement. Pour finir il rompit le silence et pou la 1° fois il me parla :

_ Je m'appelle Tom.

Mais oui, c'était lui bien sûr. Tom, le guitariste de Tokio Hotel.

_ Je m'appelle Marie.

_ Tu as un prénom d'ange.

_ Tu as un prénom.

_ Oui et qu'est-ce qu'il a mon prénom.

_ Euuhh ( je pensai : Un pouvoir hypnotique...)

_ Oui ?

_ Non, rien, j'aime bien ce prénom.

_ Parfait.

De longues minutes passèrent.Cette fois, je parlai en 1°:

_ Qu'est-ce qui s'est passé à la gare ?

_ Oh à la gare eh bien, j'ai vu euh tes yeux...Tes grands yeux bleus...

_ Mais, mes yeux sont tout petits, et puis je ne parlais pas de ce qui s'est passé entre nos yeux, mais de ce qui est arrivé et du pourquoi je suis la.

_ Oh ça, c'est une longue histoire.

suiteeeeeeeeeeeeeee

c'est incroyable comment j'aime ta fic !!! ^^

SUITE please c trop bien !

Chapitre 5 :

Tom me fixe. Une fois de plus je perds ma tête. Je cligne des yeux sans les détourner. Il abandonne le 1°, tourne le visage vers le mur et je le vois rougir un peu.

Moi : Alors ?

Lui : Attends 2s, faut que j'aille faire un ptit truc. Tu bouges pas, hein ?

Moi {regard en biais} : Ouais, bah on verra, j'ai la bougeotte...

Lui : C'est ça oui, t'as pas intérêt de partir, sinon t'es morte [petit sourir de dragueur]

Moi : Celui qui me tue, il est mort [regard qui tue tout xD]

Lui : On verra, j'ai mes ptites techniques, mort lente mais sure...

Moi : Pkoi me fr souffrir ?

Lui : J'aime faire souffrir les gens .

Moi : Je suis un gen, moi ?

Lui : Non, t'as raison, jte tuerais au couteau, pour pas te faire mal...

Moi : Tu me feras qd mm mal.

Lui : Ouais, et en plus, moi aussi j'aurais mal...

Moi : Bon, qu'est-ce t'avais a fr ?

Lui : Ah oui, j'y vais. A tt de suite.

Moi : Att, Tom !

Lui : Ouiii, quoi ?

Moi : Elle est où Chloé ?

Lui : Chais pas ac Gustav.

Moi : Ah ouais, je m'en doutais un peu...

Lui : Bon, si t'as encore besoin de moi, t'as pas le droit d'hésiter, tu m'entends, t'as pas le droit. *Il se rapproche, colle son front sur le mien, me fixe et me répète doucement :* Pas le droit, pas le droit...

Puis il se décolle et sort de la cuisine. Je reste quelques secondes seule dans la pièce. Me regard se pose sur les céréales. Je m'en sers un bol. Qu'est-ce que je foutais là ? Et Chloé, qu'est-ce qu'elle faisait là, maintenant ? Et mes parents, m'attendaient-ils? Et mon frère? Et les autres amis? Les questions tourbillonaient dans ma petite tête. Soudain un bruit me tira de mes rêveries, et un autre garçon entra dans la cuisine. Bill, bien sûr.

Suite stp j'adore trop !!

Oh lala c'est tro bien moi jve la suite !!!!!!!!!!!!!!!!! ^^

moi aussi je veux trop la suiteeeeeeeeeeeeeeeeee !! =D

Chapitre 6

Son arrivée réchauffa la salle d'un coup. Il avait une stature, une assurance, une non-challence et ce regard. Toujours ces mm yx, et pourtant il leur manquait qqchose à ses yc a lui. Il se servit un bol de lait; jeta 3 cuillérées de céréales dedans et s'installa en face de moi :

Bill_ Tiens, l'ange s'est réveillée.

Moi_ L'ange?

Bill_ Oh, il ne t'a pas dit...

suite please !!!! zaime !!! <3

SUITE !!!! lol

SUITE ...

suite !!

même si je lais déja mit lol

Super bien ta fic !!!!!!!

Jlaime de trooooop !

Suite-Chapitre 6

Moi _ Il aurait dû me dire quoi ?

Bill _ Non, non, rien, rien...

Moi _ A vous entendre, y'a jms rien, je pige pas. C'est à cause de mon prénom ?

Bill _ Qu'est-ce qu'il a tn prénom? Il est très bien, il fait...

Moi _ Ange, il fait ange. C'est ce que Tom a dit.

Bill _ Oh, non. L'ange, c'est pr autre chose.

Je me levai, fâchée. Les poings serrés, je retournai ds ma chambre. Pkoi ne jms me répondre ? Pkoi tant de mystère? Ils s'étaient donnés le mot ma parole. J'allumai la lumière.Claire, le chambre était magnifique. Sobre et spacieuse. Mais il manquait qqchose pour qu'elle soit parfaite. Je sortis qques affaires de mn sac et les balançai en vrac aux 4 coins de la pièce. Je sautai sur le lit et arrachai la couverture. Le dessin me sauta la gorge. Il était criant de vérité. Je comprenais, je comprenais...
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